MAYOU SOULAT
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Mayou Soulat, fille du pays de Gex, appartient à une famille d’artistes.
Initiée par son frère, Rodolphe, qu’elle regarde peindre dans le jardin de son enfance.
Encouragée, rassurée, par son grand amour, l’architecte-peintre divonnais Jean Debaud dont elle partagea la vie.
Peintre autodidacte, elle a été guidée par ces deux hommes. Son immense admiration pour eux , leur influence, sont le moteur de sa peinture.
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Les toiles de Mayou Soulat sont empreintes de joie, d’humour, de fraîcheur. Les sujets sont traités avec délicatesse et féminité. Peinture naïve sans mièvrerie.
Ses 3 principaux sujets inspirants sont les paysages, les chats et les rêves.
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Sténotypiste à l’ONU dans les année 60, Mayou Soulat voyagea au rythme des conférences.
Au terme des réunions onusiennes commençait le temps de la découverte et de la peinture. Avec Jean, qui la rejoint lorsque c’est possible, ils profitent de s’imprégner des couleurs, des ambiances et peignent sur le motif.
Sri Lanka, Maroc, Egypte, Mexique, Chili, Argentine, Espagne, Grèce, Crète, Finlande, Danemark, Italie ….
Et la France, chez des amis ou en escapades, la Bretagne, La Corse et la Provence.
Les Chats qui partagent son appartement-galerie-atelier, La Poussine et Pouly, et ceux du quartier. Elle aime leur indépendance, leur détachement câlin. Un peu moins leur instinct chasseur.
Les fantasmes comme échappatoire aux malheurs. Pour la liberté des émotions, pour les souvenirs heureux, pour la poésie et la musique.
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